Habituellement, à cette période de l’année, je conseille des « détox » pour se préparer à affronter l’hiver et son cortège de maux et maladies.

Cette fois, étant sollicitée par des personnes vaccinées ayant des complications et par d’autres inquiètes des risques de cette injection, il me paraît évident d’aborder ce sujet dans le contexte du Covid.

La vaccination contre le Covid est un choix personnel, plus ou moins libre, qui regarde chacun, là n’est pas le propos.

Je vous propose ici des solutions simples à mettre en place pour se protéger des risques des vaccins et de leurs effets secondaires, même si vous êtes vaccinés depuis plusieurs mois.

Dans ma pratique quotidienne, je mets toujours l’accent sur le fait que nous devons tous faire en sorte de mettre notre corps dans les conditions optimales pour qu’il puisse lutter contre les agresseurs extérieurs (entre autres, ces fameux virus qui, cela dit, permettent au corps de se nettoyer…), mais aussi pour lui donner les moyens et l’énergie de se régénérer et de s’auto guérir. Comment ? En le nettoyant et en lui apportant les bons éléments nutritionnels.

Plus que jamais, nous devons faire ce ménage intérieur pour stimuler notre système immunitaire et aider le corps à se dépolluer, que nous soyons déjà vaccinés ou pas.

Et pour les personnes qui se feront vacciner dans les semaines ou mois qui viennent, elles pourront utiliser ces solutions qui permettront une vaccination dans les meilleures conditions, en limitant autant que possibles les facteurs de risque et les effets indésirables.

Quels sont les effets secondaires des vaccins anti Covid ?

Les vaccins, quels qu’ils soient, apportent au corps des adjuvants délétères susceptibles de perturber le bon fonctionnement de notre corps.

Les vaccins antiCovid n’échappent pas à cela. Toutefois, de par leurs spécificités (ce sont des vaccins génétiques), ils sont à l’origine d’autres effets qui se cumulent aux précédents.

60 à 70 % des personnes ont des effets secondaires dans les 48h à 72h suivants la vaccination.

On distingue :

  • des effets secondaires locaux : inflammation, douleur à l’endroit de l’injection, allergie, irritation…
  • des effets secondaires généraux : maux de tête, douleurs articulaires, fatigue, fièvre, troubles digestifs…

Dans le cas des vaccins antiCovid, sont également rapportés de nombreux cas de complications plus graves, notamment des atteintes cardiaques (péricardites, myocardites) et des thromboses cérébrales et intestinales qui seraient liées à la protéine Spike

Pourquoi ces effets secondaires ?

  • A cause des adjuvants

Ils sont utilisés pour potentialiser la réaction immunitaire.
L’aluminium, le polysorbate 80, le PEG (Poly Ethylène Glycol) par exemple, font partie des adjuvants.
Les vaccins antiCovid utilisent aussi des nanoparticules de lipides.

  • A cause de la protéine Spike

Cette protéine est située à la surface de l’enveloppe du virus et permet sa fixation sur les cellules humaines.
Elle est contenue dans tous les vaccins antiCovid.
Son rôle, dans les vaccins génétiques, est d’induire une réponse des cellules immunitaires.

Le but du vaccin est de produire des anticorps dirigés contre la protéine Spike.

L’inconvénient majeur de cette protéine Spike, c’est qu’elle est pro-inflammatoire et donc à l’origine de chocs cytokiniques appelés aussi « tempêtes cytokiniques ou tempêtes inflammatoires ».

Une fois le vaccin génétique injecté, il se distribue dans l’organisme et la protéine Spike est synthétisée partout dans le corps : au niveau du système nerveux central, du cœur, des glandes endocrines (comme la thyroïde), des gonades (ovaires et testicules

  • cela peut ainsi perturber les cycles menstruels et la synthèse de testostérone).

Cette protéine Spike peut devenir toxique chez des personnes ayant une forte réactivité du système immunitaire.

D’autre part, les structures des protéines Spike synthétisées peuvent varier, entrainant la production d’anticorps non spécifiques chez certains patients pouvant expliquer, par exemple, des perturbations dans la coagulation et l’apparition de thromboses.

  • A cause du graphène

La présence de graphène est sujet à de très nombreuses controverses. Des enquêtes sont en cours. Ce nanomatériau est très toxique. Il est très inflammatoire, inhibe l’apoptose (la mort cellulaire programmée) et générerait des phénomènes d’interaction avec des ondes électromagnétiques. Dans le doute, mieux vaut donc l’évacuer de notre corps…

L’extrait de brocoli titré à 4% minimum ainsi est une solution naturelle proposée par des experts pour dégrader le graphène.

L’argile me semble aussi être aussi une solution pour adsorber cette substance.

La N-acétyl cystéine (dérivé de synthèse) est aussi conseillée par certains. C’est un anti oxydant majeur, précurseur du glutathion.

Comment se protéger des risques des vaccins et de leurs effets secondaires de façon naturelle ?

1- Inhiber la protéine Spike

Ici, il convient de citer deux cas de figure :

  • L’inhiber après une vaccination diminue l’efficacité du vaccin. Les personnes souhaitant bénéficier de la protection vaccinale ne devraient donc pas envisager l’inhibition de cette protéine.
  • En revanche, les personnes contraintes de se faire vacciner pour de mauvaises raisons (pour ne pas perdre son emploi, pour voyager, aller au cinéma ou au restaurant etc.) et qui n’ont pas un profil à risque peuvent l’envisager pour réduire les risques du vaccin qu’elles vont s’inoculer.

–> Consommer des polyphénols

Les polyphénols appartiennent à une famille de composés synthétisés par le stress des plantes pour se défendre contre les menaces de l’environnement hostile (insectes, champignons, parasites, toxines, intempéries etc.)

La plupart bloquent toutes les voies connues de l’inflammation dans le corps.

Voici une liste des polyphénols les plus puissants :

  • Dans le fruit de goyave : la fluoxine B
  • Dans le pamplemousse, le citron et l’orange : la rhoifoline et l’hespéridine
  • Dans la rhubarbe : l’émodine
  • Dans le thé vert : les catéchines (notamment l’EGCG Epigallocathéchine gallate 🙂
  • Dans le raisin rouge et le vin rouge : le resvératrol
  • Dans les câpres, oignons, piment, curcuma, peau des pommes, livèche : la quercétine

Ces polyphénols peuvent être consommés avant et après l’injection.

Notons que leur consommation est également utile en prévention.

Ils peuvent être aussi absorbés sous forme d’extraits standardisés dans des compléments alimentaires.

* Remarque sur la suramine : cette substance est retrouvée en abondance dans les aiguilles de pin fraiches. D’après de récentes études, elle n’aurait pas d’effet inhibiteur sur la protéine Spike. En revanche, elle peut être associée aux autres inhibiteurs et serait intéressante comme antivirale (donc en cas d’infection par le Covid).

2- Eliminer les adjuvants

Il est important d’éliminer ces substances, mais aussi les toxines produites par l’organisme en réaction au vaccin, afin d’éviter qu’elles ne s’accumulent dans les organes et nos liquides corporels.

Soutenir le système hépato biliaire Le foie participe au processus de détoxification. Il permet la conversion de certaines molécules toxiques liposolubles en métabolites hydrosolubles neutres ensuite éliminés par les reins. Les radis, brocolis, artichauts, le curcuma, l’huile d’olive et l’ail soutiennent ces différentes fonctions.

Soutenir les reins Ils éliminent les substances hydrosolubles. Les plantes diurétiques comme le persil aident les reins dans leurs fonctions.

3- Chélater les éléments toxiques

Par ce processus, on mobilise des éléments toxiques, des tissus vers la circulation.

Cela sous-tend, en parallèle, d’aider les reins à les éliminer.

Pour chélater l’aluminium, on utilisera de l’acide alpha lipoïque ou le malate de magnésium sous forme de compléments alimentaires.

4- Diminuer l’inflammation provoquée par la protéine Spike ou les adjuvants

Les tempêtes inflammatoires peuvent engendrer des complications graves, notamment des thromboses et des affections cardiaques.

Certains nutriments réduisent naturellement l’inflammation :

  • Les acides gras Oméga 3 (qui ont aussi des propriétés antiagrégantes plaquettaires)
  • La vitamine D (D3 de préférence). Elle renforce aussi et régule le système immunitaire
  • Les bourgeons de cassis (Ribes nigrum) sous forme de macérât
  • Des complexes de vitamines et d’oligoéléments anti oxydants : Vitamines A, C, E, B6, B9, B12, Zinc, Cuivre, Sélénium.

5- Nettoyage physique, psychique et énergétique

  • Isothérapie homéopathique qui offre une protection spécifique selon le vaccin reçu
  • Cataplasme d’argile verte : à appliquer dès que possible après le retrait de la seringue

Même si vous avez déjà été vacciné, vous pouvez donc vous protéger des potentiels effets, à moyens ou longs termes, des vaccins en suivant ces simples conseils.

Je vous propose de vous accompagner lors d’une consultation (physique ou en visio).

En fonction de votre âge, de votre vitalité, de votre mode de vie ou de votre état de santé général, je vous oriente vers le protocole le plus adapté.

Enfin, je peux vous aider à mettre en place des nettoyages plus profonds, comme la cure de détoxification du foie, les purges et les jeunes.

Je vous souhaite un bel automne
Nathalie

Ma sélection de produits à commander en ligne sur ce site :

Marine Oméga : Acides gras Oméga 3 de poisson (krill)

LifePak + : Complexe mutivitaminé (resvératrol, quercétine, Zinc, vitamines A, B, C, E, D…)

Tegreen : Extrait de thé vert

Zinc

Vitamine C liposomale